Santé & Médecine

Traitement des Hémorroïdes sans ordonnance – médicaments et crème pour traiter les hémorroïdes

häm Les crises hémorroïdaires font partie de l’une des souffrances les plus répandues. Elles se manifestent généralement par la dilatation des vaisseaux sanguins situés autour de l’anus. L’hémorroïde est la source d’un certain nombre de sensations extrêmement douloureuses. Ces dernières sont très inconfortables et constituent un véritable handicap au bien-être. Les informations relatives à ce mal ne sont généralement pas disponibles. Par conséquent, cette maladie est sujette à des affabulations. Que doit-on savoir à propos de ce mal et quelles sont les dispositions préventives et curatives ?

Acheter les médicaments et crème pour traiter les Hémorroïdes sans ordonnance

docteur Il est possible d’acheter les médicaments pour le traitement des  hémorroïdes en ligne sans prescription du médecin en pharmacie en ligne. À coup de la création d’une ordonnance en ligne par un diagnostic à distance, l’achat des médicaments sur ordonnance est légalement admissible. La base juridique est le règlement de l’UE sur la mobilité des patients.

Après avoir complété une fiche du patient, le médecin va achever l’ordonnance en ligne et la pharmacie par correspondance expédie le médicament souhaité.

Vous pouvez commander les médicaments pour les hémorroïdes chez les pharmacies en lignes suivantes:

Acheter les médicaments pour le traitement des hémorroïdes sans ordonnance en ligne en Europe

  • Achter des médicaments sans prescription en ligne est légale en France
  • La directive européenne sur la mobilité des patients autorise l’achat de médicaments délivrés sur ordonnance, tels que des antibiotiques, par télédiagnostic dans d’autres pays de l’UE
  • Vous devez remplir un questionnaire en ligne pour obtenir l’ordonnance en ligne.

Liste des médicaments pour le traitement des hémorroïdes

dokteronline Les suivantes médicamnets sont disponibles chez DokterOnline

  • Xylocaïne
  • Proctosedyl
  • Betnovate
  • Lidocaïne
  • Proctofoam
  • Perinal
  • Anugesic HC
  • Anusol HC
  • Scheriproct
  • Ultraproct
  • Uniroid HC

Quelles sont les types d’hémorroïde ?

Les hémorroïdes sont des veines présentes au niveau du rectum ou de l’anus. Ces veines favorisent les mouvements (ouverture et fermeture) du rectum au passage des déchets solides issus de la digestion. Ainsi, tous les êtres humains ont des hémorroïdes. La dilatation de ces dernières sous l’effet de la pression des excréments est un fait physiologique naturel et normal. La sensation de la douleur engendrée par les hémorroïdes est liée au prolongement de leur dilatation. Le maintien en état dilaté des hémorroïdes justifie l’inflammation des veines anales et rectales appelée crise hémorroïdaire.

En fonction de sa localisation, une hémorroïde peut être qualifiée d’interne ou d’externe. Elle est dite interne si elle est située à l’intérieur de l’anus ou du rectum. Les crises relatives aux hémorroïdes internes sont moins douloureuses (ou indolores) en raison de l’absence de nerfs sensitifs dans cette zone. En absence de la prise en charge réelle desdites crises, elles peuvent évoluées et atteindre des stades différents.

Par contre, une hémorroïde est dite externe si elle se retrouve au niveau du pourtour de l’anus ou du rectum. Les crises relatives aux hémorroïdes externes se traduisent par des enflures, des démangeaisons et des douleurs. Ces dernières sont amplifiées notamment lors du passage des selles. Cela s’explique par la présence de nombreux nerfs sensitifs dans cette zone. On peut assister éventuellement à la formation du caillot de sang dans les veines qui se dilatent. Par ailleurs, on distingue une troisième forme de crise hémorroïdaire qualifiée de mixte. Elle est la combinaison entre la forme interne et celle externe.

Quels sont les symptômes des hémorroïdes ?

Les symptômes de l’hémorroïde se traduisent généralement par le saignement, les sensations douloureuses, le prolapsus et autres.

  • Les douleurs et manifestation : elles se manifestent par des tensions, des picotements, des douleurs modérées et autres au niveau de la région anale. Ces douleurs peuvent se déclencher ou s’amplifier lors des efforts, de l’émission de selles… Elles témoignent de la présence de paquets hémorroïdaires. L’intensité des sensations douloureuses varie en fonction de la complication de la pathologie. Elle peut être légère, moyenne ou sévère. La forme sévère est véritablement incommodante et influence la marche et la posture assise. C’est le cas par exemple des thromboses hémorroïdaires (internes ou externes) qui entraînent entre autres, des abcès et des fissures.
  • Le saignement : il est caractérisé par l’écoulement du sang rouge. L’écoulement n’est en général pas abondant et se constate aisément sur tous les linges ou papiers en contact avec l’anus. Les pertes sanguines ne doivent pas faire l’objet de grande panique, elles doivent néanmoins vous amener à faire la consultation.
  • Le prolapsus : il se produit lors du passage des fèces et se traduit par la descente à l’intérieur du canal anal d’une ou de plusieurs paquets hémorroïdaires. Lesdits paquets peuvent spontanément ou non regagner leurs positions initiales.

Quels sont les facteurs favorisés ?

On peut dire que tout le monde est prédisposé à souffrir à tout moment des crises hémorroïdaires durant sa vie. Les facteurs déclencheurs sont multiples et parfois, ils sont sujets à des polémiques. La recrudescence des crises peut être associée à des éléments divers.

  • La constipation : elle contribue à aggraver le mal à force d’exercer plus de pression afin de faire évacuer les excréments. Par ailleurs, le recours à certaines molécules chimiques (pharmaceutiques) en vue du soulagement complique davantage les crises. A cela, s’ajoute la posture assise de manière prolongée durant les toilettes.
  • Certaines modifications physiologiques de la femme : les phases biologiques (menstruation, grossesse, accouchement…) du cycle de vie de la femme la rendent vulnérable.
  • L’immobilité peut également influencer l’ampleur du mal.
  • L’exercice des activités sportives qui ont pour finalité le soulèvement des matériaux ayant un poids élevé.
  • La consommation parfois excessive de certaines épices ou de l’alcool.
  • Les crises de diarrhée participent à renforcer les crises hémorroïdaires.

Comment traiter les hémorroïdes ?

Dans le but de soulager le malade, des dispositions en vue de réduire ou de traiter les crises sont importantes.

Douleurs hémorroïdaires : quelques astuces

Pour soulager les crises hémorroïdaires, des dispositions simples mais efficaces sont nécessaires. Il est recommandé d’augmenter la consommation des fibres alimentaires (les légumes, les fruits et autres) et de boire suffisamment d’eau. Cette mesure permet de prévenir ou de dissiper la constipation et par conséquent de soulager la maladie hémorroïdaire. Si vous n’avez toujours pas la satisfaction, vous pouvez recourir à un complément en fibres alimentaires. Certains émollients à l’instar de docusate de sodium sont également utilisés.

Il est aussi important de poser les compresses froides sur les hémorroïdes si elles descendent vers l’extérieur de l’anus. Cette disposition permet d’éviter les risques d’inflammation. Les positions assises durant un temps prolongé lors des toilettes ainsi que les efforts excessifs pour évacuer les fèces sont proscrits. Les douleurs hémorroïdaires sont sensiblement réduites par des bains de siège. Ces derniers se réalisent avec de l’eau tiède (40°C) durant une dizaine de minutes à une fréquence de 4 fois par jour. Vous devez éviter la sédentarisation par des marches modérées et des étirements périodiques.

Par ailleurs, les noix, le café, les aliments riches en épices, l’alcool et autres sont à éviter scrupuleusement. Evitez également toutes les formes de pressions sur le rectum. Abandonnez l’habitude des exercices physiques qui nécessitent de soulever les objets lourds.

Crises hémorroïdaires : approche curative

La prise en charge de ces crises diffère selon que l’on soit dans le cas d’une hémorroïde interne ou externe.

  • Hémorroïde externe : Lorsque les douleurs aigües, notamment celles relatives aux thromboses apparaissent, une intervention chirurgicale est indispensable. Celle-ci s’effectue sous une anesthésie locale. Elle intervient dans un délai de trois jours après l’apparition des symptômes. Concrètement, elle consiste à enlever les veines atteintes et la région constituée de la peau et qui entoure l’anus. Cela prévient les prochains risques de la maladie et réduit considérablement la vulnérabilité. Il faut souligner que l’intervention chirurgicale n’est pas courante et représente d’ailleurs le dernier recours.
  • Hémorroïde interne :Les incommodités en cas de la persistance et de l’aggravation du mal entravent sérieusement le quotidien du malade. A cette étape, plusieurs approches de prise en charge sont envisageables.
  • La sclérothérapie ou traitement sclérosant consiste à injecter une substance chimique au niveau de la base de l’hémorroïde. Il s’en suit une rétraction après le durcissement des hémorroïdes.
  • La coagulation utilise les rayons infrarouges ou le courant électrique. En effet, la chaleur produite par ces sources au niveau de la base des veines impliquées, explique la rupture de la circulation sanguine. Il en résulte une rétraction desdites veines et une régression de la crise hémorroïdaire.
  • La ligature élastique consiste à poser, à l’aide d’un appareil à ligaturer, une petite bande élastique à la base des veines dilatées. Il se produit alors une rupture de la circulation sanguine. Il s’en suit une rétraction puis une décomposition de l’hémorroïde. Cette approche est plus utilisée en raison de sa simplicité et de son efficacité. Cette technique implique cependant certains risques à l’instar des saignements, des sensations douloureuses, de l’affection d’autres hémorroïdes etc. Il faut noter que la probabilité de ces risques est très faible.
  • L’hémorroïdectomie est le recours ultime après toutes les autres formes de tentatives. Elle intervient notamment lorsque les hémorroïdes atteignent un certain seuil de grosseur. Cette technique permet d’enlever partiellement le tissu abritant les hémorroïdes et se pratique sous anesthésie épidurale ou générale.

Les molécules pharmaceutiques sont également mises à contribution en ce qui concerne la prise en charge thérapeutique des crises hémorroïdaires.

Quels sont les médicaments sur ordonnance utilisés pour traiter les hémorroïdes ?

Pour soulager la douleur, on peut recourir à un traitement par la voie orale. Les analgésiques à l’instar de l’acétaminophène, les modificateurs de transit, les anti-inflammatoires… sont utilisés. L’aspirine n’est pas conseillée car elle augmente les risques de saignement. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (ne contiennent pas les cortisones et dérivés) sont utilisés pour réduire la douleur générée par les thromboses hémorroïdaires. Ils sont cependant contre-indiqués chez la femme enceinte. En substitution, les phlébotropes sont couramment utilisés.

Les produits pharmaceutiques à usage local (analgésiques topiques) sont également disponibles. Il s’agit des crèmes, des suppositoires et autres ayant des propriétés cicatrisantes, anti-inflammatoires, anesthésiques etc. D’autres produits comme les dérivés du nifédipine ou nitroglycérine sont également disponibles sur prescription. Une consultation médicale est obligatoire pour une prise en charge efficace du malade.

Quels sont les ingrédients actifs ?

Les produits pharmaceutiques qui contiennent généralement de la benzocaïne ou de l’hydrocortisone sont efficaces pour le traitement. Les substances chimiques à l’instar de chlorhydrate de lidocaïne, de l’enoxolone, de la tribénoside et autres sont également actives sur le mal. Il faut absolument prendre l’avis d’un médecin avant toute initiative.

Combien de temps dure le traitement des hémorroïdes ?

La durée du traitement varie en fonction de l’approche thérapeutique utilisée. Elle varie également selon l’organisme du malade (âge, sexe, système immunitaire…).

Prévention : comment éviter les hémorroïdes ?

A travers certaines dispositions, il est possible de réduire significativement la survenue d’une crise hémorroïdaire. Lesdites dispositions sont relatives à :

  • la prise suffisante d’eau ;
  • la prévention de la constipation ;
  • la posture assise ou debout de manière prolongée (à strictement éviter) ;
  • la stimulation du transit intestinal ;
  • la stimulation des muscles pelviens à travers les exercices de Kegel ;
  • l’utilisation des moyens qui facilitent le soulèvement des objets lourds ;
  • la fréquence (régulière) de toilettes pour la défécation ;
  • la prise des aliments riches en épices (à éviter strictement) ;
  • l’hygiène anale rigoureuse ;
  • l’utilisation des lingettes humides inodores etc.

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