Acheter les médicaments pour traiter les condylomes sans ordonnance
Il est possible d’acheter les médicaments pour traiter les verrues génitales en ligne sans prescription du médecin en pharmacie en ligne. À coup de la création d’une ordonnance en ligne par un diagnostic à distance, l’achat des médicaments sur ordonnance est légalement admissible. La base juridique est le règlement de l’UE sur la mobilité des patients.
Après avoir complété une fiche du patient, le médecin va achever l’ordonnance en ligne et la pharmacie par correspondance expédie le médicament souhaité.
Vous pouvez commander les médicaments pour traiter le condylomes chez les pharmacies en lignes suivantes:
Acheter les médicaments pour traiter l’herpès génital sans ordonnance en ligne en Europe
- Achter des médicaments sans prescription en ligne est légale en France
- La directive européenne sur la mobilité des patients autorise l’achat de médicaments délivrés sur ordonnance, tels que des antibiotiques, par télédiagnostic dans d’autres pays de l’UE
- Vous devez remplir un questionnaire en ligne pour obtenir l’ordonnance en ligne.
Liste des médicaments pour le traitement de l’herpès génital
Les suivantes médicaments sont disponibles chez DokterOnline
- Aldara
- Condyline
- Wartec
Transmission
Les types de HPV responsables de condylomes se transmettent en général lors de rapports sexuels anaux ou vaginaux, mais également par le biais de rapports sexuels buccaux. Bien que rare, il est possible que la contamination d’un papillomavirus engendrant des condylomes s’opère en dehors des rapports sexuels, de part un contact avec de l’eau, du linge ou du matériel souillé.
Traitement
Il existe différentes manières de traiter les verrues génitales externes, dépendamment de leur taille et de leur emplacement, cependant aucune d’entre elles n’est véritablement satisfaisante. En effet, il est possible de retirer ces verrues par laser, courant électrique, cryothérapie ou par une intervention chirurgicale, mais ces traitements sont plutôt pénibles et peuvent laisser des cicatrices. Si l’éradication du papillomavirus n’est pas le but de ces traitements, ces derniers permettent bel et bien de se débarrasser des lésions visibles et surtout contagieuses. Toutefois, malgré l’importance d’un traitement contre les condylomes, le risque de récidive reste très élevé, entre 30 et 50 % selon la Société Nationale Française de Gastro-Entérologie (SNFGE).
Le laser Co2, sous anesthésie locale ou générale, peut être envisagé afin de se débarrasser des condylomes. D’après ce que rapporte l’Association Française de Formation Médicale Continue en Hépato-Gastro-Entérologie (FMC-HGE), l’efficacité de cette technique se situe entre 80 et 90 %, ce qui n’empêche pourtant pas le taux de récidive d’atteindre 35 %. L’éléctrocoagulation au bistouri électrique, plutôt recommandée dans le cas de condylomes anaux, peut elle aussi être effectuée sous anesthésie locale ou générale, en fonction de l’étendue des lésions. Efficace de 80 à 93 %, cette technique peut entraîner une dépigmentation ainsi que des effets secondaires cicatriciels.
La cryothérapie, à raison de 1 séance par semaine ou 1 séance par mois, est à privilégier dans le cas de condylomes de petite taille à traiter par le froid grâce à l’application d’azote liquide. Des douleurs et des ulcérations sont à compter parmi les effets secondaires les plus fréquents de cette méthode. L’efficacité de la cryothérapie est de 63 à 89 %. Concernant les chirurgies, une ablation sous endoscopie est à envisager si les verrues se situent au niveau de l’urètre. Une exérèse chirurgicale large, dite carcinologique, est indiquée en cas de condylome acuminé géant ou de maladie de Bowen.
Un traitement immunomodulateur, par l’application sur les verrues génitales d’une crème à l’imiquimod dosée à 5 %, permet de limiter au maximum les récidives. Il faut pour cela appliquer 3 fois par semaine une couche mince du produit sur les lésions, le soir au coucher, et ce jusqu’à une durée maximale de 16 semaines. L’imiquimod Aldara peut provoquer une irritation locale, effet secondaire le plus fréquent de la prise de ce médicament, ainsi qu’un syndrome grippal.
Des traitements chimiques peuvent aussi être prescrits en vue de détruire les lésions. La podophyllotoxine Condyline, réservée aux zones externes, est à appliquer matin et soir pour une durée de 3 jours consécutifs par semaine, sachant que le traitement ne doit pas durer plus de 5 semaines. Parmi les effets secondaires peu sévères qui peuvent se manifester, il faut relever une douleur lors de l’application ainsi que des inflammations, brûlures ou érosions superficielles. Le 5-fluorouracile Efudix, moins souvent prescrit, est lui aussi réservé aux lésions externes, et plus particulièrement pour les condylomes de la vulve.
À appliquer en couches fines 1 à 3 fois par semaine jusqu’à 6 semaines, cette crème est connue pour susciter des effets secondaires plus fréquents, comme des démangeaisons, une hyperpygmentation, des douleurs ou encore une brûlure au niveau de la zone d’application. L’acide trichloracétique à 85 %, sous forme de solution aqueuse ou alcoolique, peut quant à lui être utilisé par un praticien pour traiter les verrues génitales, par application 1 fois par semaine pendant 3 semaines. Surtout efficace pour des petites lésions humides, au niveau du méat ou de l’urètre, l’acide trichloracétique peut entraîner des ulcérations.
Prévention
En France, le vaccin Gardasil et le vaccin Cervarix, qui permettent de se protéger contre le HPV, concernent essentiellement les jeunes filles âgées de 11 à 14 ans. Cependant, la vaccination est aussi recommandée jusqu’à 26 ans aux hommes qui ont, ou ont eu, des relations sexuelles avec d’autres hommes, ainsi qu’aux mineurs transplantés, candidats à une transplantation ou vivant avec le VIH, de l’âge de 9 ans et jusqu’à 19 ans. L’utilisation de préservatifs externes est également utile pour réduire le risque d’infection au papillomavirus, et donc au développement des verrues génitales, sans éliminer pour autant le risque que le HPV infecte des zones non recouvertes.
Des mesures de prévention générale peuvent se montrer efficaces contre l’infection au papillomavirus et l’apparition de condylomes. Éviter les pratiques sexuelles dangereuses, enrayer la propagation du HPV, en procédant au diagnostique et au traitement de l’infection, et identifier ses partenaires sexuels pour qu’ils puissent eux aussi bénéficier d’un traitement adapté sont autant d’étapes importantes à suivre. Enfin, le rôle positif que pourrait jouer la circoncision dans la prévention d’une infection au papillomavirus ne fait pas encore consensus. Il se pourrait qu’elle puisse protéger les hommes des infections ano-génitales à HPV, mais sans empêcher la contamination ou la présence de condylomes.