L’Alcoolisme ++ Traitement sans ordonnance de la dépendance à l’alcool

Pour la petite histoire, l’alcoolisme est un terme créé en 1849 par un médecin suédois du nom de Magnus Huss, après avoir constaté la fréquence des détériorations hépatiques, cardiaques et neurologiques manifestée par des patients de son hôpital de Stockholm. Ce terme assez synthétique remplaça le mot ivrognerie qui était en vigueur depuis des décennies.

Acheter les médicaments pour combattre la dépendance à l’alcool sans ordonnance

docteur Il est possible d’acheter les médicaments pour traiter l’alcoolisme en ligne sans prescription du médecin en pharmacie en ligne. À coup de la création d’une ordonnance en ligne par un diagnostic à distance, l’achat des médicaments sur ordonnance est légalement admissible. La base juridique est le règlement de l’UE sur la mobilité des patients.

Après avoir complété une fiche du patient, le médecin va achever l’ordonnance en ligne et la pharmacie par correspondance expédie le médicament souhaité.

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Achter les médicaments pour traiter la maladie de l’alcoolisme sans ordonnance en ligne en Europe

Achter des médicaments sans prescription en ligne est légale en France
La directive européenne sur la mobilité des patients autorise l’achat de médicaments délivrés sur ordonnance, tels que des antibiotiques, par télédiagnostic dans d’autres pays de l’UE
Vous devez remplir un questionnaire en ligne pour obtenir l’ordonnance en ligne.

Liste des médicaments pour le traitement de l’alcoolisme

Les suivantes médicaments sont disponibles chez DokterOnline

Antabus
Campral

Qu’est-ce que l’alcoolisme ?

L’alcool, peu importe sa forme, est une substance psychoactive provenant de la distillation ou de la fermentation de fruits et de grains très riches en sucres. Lorsqu’il est pris en grande quantité, l’alcool est capable de modifier les perceptions, les humeurs et les comportements des utilisateurs. La prise régulière de ce produit psychoactif peut entrainer une dépendance physique et émotionnelle. C’est d’ailleurs pour cette raison que l’alcoolisme est considéré comme une maladie. Cependant, il tient de préciser que tous les buveurs d’alcool ne sont pas tous dépendants de cette boisson.

Pour ainsi dire, il existe différentes catégories d’alcoolisme. D’abord, il y a ce que l’on appelle l’alcoolisme aigu qui est le fait de boire quelques verres d’alcool sans en être dépendant. Ensuite, il y a ce que l’on nomme l’alcoolisme excessif qui, d’une manière générale, est le fait de consommer deux verres d’alcool par jour chez les femmes, et trois verres par jour chez les hommes. Bien entendu, on parle toujours d’alcoolisme même si les consommateurs ne sont pas dépendants à la boisson.

L’alcoolisme est un mal très répandu à travers le monde, et il touche toutes les catégories sociales. En effet, toutes les personnes, quels que soient leurs professions, leurs origines, leurs états émotionnels et leurs conditions physiques, peuvent développer une dépendance à la consommation d’alcool.

Une personne est considérée comme alcoolique lorsqu’elle ne peut plus se passer de sa dose quotidienne d’alcool. Une personne est atteinte d’alcoolisme lorsqu’elle ne peut plus assurer ses fonctions professionnelles quotidiennes sans au préalable consommer de l’alcool. Une personne qui consomme de l’alcool afin d’oublier ses problèmes est aussi un alcoolique. Toutes les personnes qui ne parviennent plus à se concentrer dans les tâches qui leur ont été imputées sont toutes souffrantes de cette maladie.

Quelles sont les conséquences de l’alcoolisme ?

Pour rappel, l’alcool est une substance psychoactive qui possède des propriétés sédatives à l’instar de la benzodiazépine et de l’héroïne. L’alcool provoque chez la personne dépendante une altération du jugement et aussi une levée d’inhibitions. C’est principalement pour cette raison que l’alcool engendre des comportements à risques comme les violences familiales, les agressions, les viols et les suicides.

L’alcool est un produit dont le niveau de toxicité altère progressivement l’organisme et ses organes. Les premiers effets de l’alcoolisme se répercutent sur le foie qui est l’organe qui filtre l’alcool de l’organisme. Certes, le foie possède d’impressionnantes qualités de régénération, mais une exposition quotidienne à l’alcool finira par avoir raison de lui. À partir de là, le sujet sera exposé aux maladies hépatiques.

La dépendance à l’alcool peut également entrainer ce que l’on appelle la cirrhose alcoolique qui se manifeste par l’apparition des lésions diffuses et irréversibles sur le foie. Les tissus hépatiques vont être remplacés par de la fibrose. Il en résulte une déformation de l’architecture du foie et une formation des nodules. Lorsqu’il atteint le stade cirrhotique, le foie n’est plus capable d’assurer ses fonctions. La plupart du temps, cette maladie débouche sur un cancer du foie.

La dépendance à l’alcool peut également provoquer une stéatose alcoolique qui se manifeste par l’accumulation de graisse dans le foie. Lorsqu’il doit éliminer trop d’alcool, cet organe va se mettre à stocker de la graisse jusqu’à ce qu’il devienne littéralement du foie gras. Cette transformation hépatique peut être la cause de nombreux troubles comme la coagulation ou le diabète.

Par ailleurs, l’alcoolisme peut provoquer une hépatite aigüe, une gastrite et des pancréatites. Ces maladies qui résultent de la consommation abusive d’alcool entrainent souvent des urgences médicales. Lorsqu’elles atteignent un stade avancé, ces maladies entraînent la mort du patient.

Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, l’alcoolisme est aussi un facteur de cancer. Très important à partager : l’alcool augmente le risque de cancer dès la consommation d’un seul verre par jour. Cette boisson psychoactive peut engendrer un cancer du foie, un cancer colorectal, un cancer du sein et un cancer des voies aérodigestives supérieures. En France, les cancers qui résultent de l’alcoolisme emportent plus de 15 000 personnes par an.

Plus de 50 % des personnes dépendantes à l’alcool présentent des troubles cognitifs comme la perte de mémoire, la perte du contrôle de certains mouvements, et la perte de l’usage de la parole. Lentement mais surement, les toxines de l’alcool détériorent les tissus du cerveau d’où les troubles. La maladie la plus connue actuellement n’est autre que le syndrome de Korsakoff qui s’exprime par une perte massive de neurones.

À terme, l’alcoolisme peut engendrer des troubles psychiatriques, des dépressions, de l’anxiété sévère, de l’anxiété chronique, des convulsions, des délires, des troubles comportementaux et des confusions. Il peut aussi provoquer des maladies cardio-vasculaires comme l’hypertension artérielle, l’angine de poitrine, la cardiopathie ischémique, la myocardiopathie alcoolique et les accidents vasculaires cérébraux.

Qu’est-ce qu’un traitement contre l’alcoolisme ?

L’alcoolisme de par ses nombreuses causes multifactorielles demande une démarche globale de traitements pour la personne concernée. Il est donc plus judicieux de parler de « traitements » que de « traitement ».

Les traitements de l’alcoolisme revêtent plusieurs formes. Ils se présentent sous la forme de soutien venant de l’entourage, d’interventions psychosociales et de la prise de médicaments.

Les traitements de l’alcoolisme ont pour objectif principal d’améliorer la qualité de vie du patient et non de le guérir. Il s’agira donc d’améliorer sa santé physique, sa santé psychologique, sa santé sociale et surtout professionnelle. Pour que les traitements soient efficaces, le patient devra se faire suivre par de nombreux professionnels de la santé comme les médecins généralistes, les médecins addictologues, des psychologues, des infirmiers ainsi que par des associations de patients.

Il tient de noter qu’une amélioration de la qualité de vie des personnes dépendantes à l’alcool n’est possible que par un changement draconien au niveau de leur habitude de consommation. L’alcoolique doit d’abord réduire la fréquence de ses consommations et quasiment s’abstenir de boire s’il en est capable. Pendant de nombreuses années, l’arrêt total de la consommation d’alcool est considéré comme le seul objectif du traitement, mais la réduction de la consommation se trouve être un objectif tout à fait acceptable d’après les conclusions des scientifiques. Au cours de son traitement, il est possible que le patient choisisse lui-même ses propres objectifs.

Avant la mise en place des traitements, les alcooliques sont soumis à de nombreuses évaluations, et cela, dans le but d’estimer le stade de leur dépendance. Les types d’évaluations qui existent sont :

L’évaluation addictologique : cela consiste à évaluer les consommations d’alcool et la fréquence des jours de forte consommation. Les paramètres sont comparés à des échelles de sévérité afin d’obtenir le niveau de sévérité de la dépendance. Cette démarche vise également à savoir si le patient est dépendant à d’autres substances comme la nicotine ou le cannabidiol.
L’évaluation des paramètres du corps : il s’agit de constater les carences nutritionnelles, les maladies hépatiques et les troubles neurophysiologiques.
L’évaluation psychiatrique : il s’agit de diagnostiquer les affections psychiatriques comme les troubles de la bipolarité, les troubles de la personnalité, les dépressions et l’anxiété.

Quels sont les médicaments sur ordonnance utilisés pour le traitement ?

Les médicaments sur ordonnance qui sont utilisés pour le traitement de l’alcoolisme sont :

L’Antabus : ce médicament sur ordonnance est utilisé en association avec d’autres formes de traitements afin de favoriser le sevrage de l’alcool. Attention ! Il ne faut jamais consommer de l’Antabus lorsqu’on a pris de l’alcool. La consommation, même très faible d’alcool, risque d’entrainer des réactions désagréables comme des palpitations, des maux de tête, des nausées, des vertiges et parfois même des pertes de connaissance.
Le Campral : au même titre que l’Antabus, le Campral est un médicament en appoint dans le traitement de l’alcoolisme. Il est prescrit pour réduire l’envie de boire du patient, mais ne le supprime pas. Le Campral est un médicament efficace, mais il se trouve que dans certaines situations, il provoque diarrhée, fatigue et insomnie.

Quels sont les ingrédients actifs ?

Les médicaments sur ordonnance contre l’alcoolisme contiennent les ingrédients actifs suivants :

L’Antabus qui est présenté sous la forme de comprimé sécable contient 400 mg de disulfirame ainsi que des substances auxiliaires. Également appelé disulfure ou tétraéthyl-thiocarbamyole, le disulfirame, de sa formule C10H20N2S4 est une poudre blanche, inodore légèrement amère. Il est très soluble dans l’alcool et le chloroforme.
Le Campral contient essentiellement de l’Acamprosate calcique. Il s’agit d’un composé organique semblable à la taurine et qui possède un carbone supplémentaire dans sa chaîne. L’action de l’Acamprosate n’est pas encore clairement élucidée, mais il est capable d’inhiber les récepteurs NMDA, ce qui aide à réduire l’intensité et les fréquences des envies de consommation.

Combien de temps dure le traitement contre la dépendance à l’alcool ?

Le disulfirame demande une abstinence totale et il faut être extrêmement prudent dans la prise de ce médicament. En fait, ce médicament ne doit être administré que sous la surveillance d’un médecin. Très important : le disulfirame est contre-indiqué chez les personnes qui continuent de boire de l’alcool en raison des mauvaises réactions qui peuvent se produire. Le disulfirame est donc recommandé pour les patients qui sont susceptibles d’atteindre une sobriété initiale et qui témoignent une volonté de maintenir leur abstinence.

Le risque de rechute est très élevé pendant les 6 à 12 mois qui suivent le début de l’abstinence, mais cette durée diminue au fil des années. En ce sens, le traitement pharmacologique ou médicamenteux contre l’alcoolisme doit se poursuivre pendant les 6 mois qui suivent la sobriété. Même si la durée optimale du traitement n’a pas encore été établie, il peut durer jusqu’à ce que les risques de rechute aient atteint les plus bas niveaux.

En savoir plus sur le sevrage alcoolique

Le sevrage est un mode de traitement particulier qui consiste à éliminer l’alcool du corps en arrêtant d’un seul trait sa consommation. Ce traitement peut se faire, soit de manière résidentielle, soit de manière clinique dans un hôpital ou un centre de soins dédié aux alcooliques. Compte tenu des risques du syndrome de sevrage, ce traitement doit se faire sous la surveillance d’un proche, d’un infirmier ou d’un médecin. Pour l’alcoolique, le sevrage est un challenge à relever.

L’Alcoolisme en France – Médicaments sans ordonnance contre la dépendance à l’alcool