Il est vendu dans une boîte unitaire et dans une poche stérile. Pour être efficace, il doit être inséré par un professionnel de santé, c’est-à-dire par un médecin ou une sage-femme, dans la cavité de l’utérus. Il contient une hormone progestative appelée le lévonorgestrel qui a un effet contraceptif.
Acheter Mirena sans ordonnance
Il est possible d’acheter Mirena en ligne sans prescription du médecin en pharmacie en ligne. À coup de la création d’une ordonnance en ligne par un diagnostic à distance, l’achat des médicaments sur ordonnance est légalement admissible. La base juridique est le règlement de l’UE sur la mobilité des patients.
Après avoir complété une fiche du patient, le médecin va achever l’ordonnance en ligne et la pharmacie par correspondance expédie le médicament souhaité.
Vous pouvez commander ce dispositif intra-utérin (DIU) chez les pharmacies en lignes suivantes:
Prix
Prix de Mirena: à partir de 241,20 €
Acheter Mirena sans ordonnance en ligne en Europe
- Achter un dispositif intra-utérin (DIU) sans prescription en ligne est légale en France
- La directive européenne sur la mobilité des patients autorise l’achat de médicaments délivrés sur ordonnance, tels que des antibiotiques, par télédiagnostic dans d’autres pays de l’UE
- Vous devez remplir un questionnaire en ligne pour obtenir l’ordonnance en ligne.
- Nous vous présentons ici un aperçu de tous les prestataires de la pilule sans ordonnance.
De quel type de contraceptif s’agit-il ?
Le DIU (dispositif intra-utérin) Mirena empêche par conséquent la fécondation grâce à son action locale dans l’utérus et à l’action contraceptive du lévonorgestrel. Il est prescrit et utilisé soit pour éviter une grossesse, soit pour traiter des règles qui seraient trop abondantes sans que l’on puisse déceler une cause organique (ménorragies fonctionnelles). Attention toutefois, ce DIU Mirena, à l’inverse des stérilets en cuivre, n’est pas prescriptible comme contraceptif d’urgence à savoir lorsqu’il y a une risque de grossesse suite à un rapport sexuel non ou mal protégé. Il n’est pas non plus indiqué pour :
- les femmes nullipares, c’est-à-dire qui n’ont pas eu d’enfant,
- les femmes souffrant d’acné en raison des effets secondaires du Lévonorgestrel,
- les femmes prenant facilement du poids en raison des effets secondaires du Lévonorgestrel,
- les femmes ayant déjà fait des dépressions en raison des effets secondaires du Lévonorgestrel.
Cette méthode contraceptive reste efficace pendant une période de 5 ans.
Quels sont les ingrédients actifs ?
Le dispositif contraceptif Mirena libère progressivement du lévonorgestrel, une substance proche de la progestérone. Le DIU contient également dans son manchon du Polydiméthylsiloxane (Elastomère) ainsi que de la silice colloïdale anhydre. Son corps en T est composé de polyéthylène et de sulfate de baryum. Enfin, le fil de retrait contient du polyéthylène et de l’oxyde de fer.
Type d’action du Dispositif Intra-Utérin Mirena
Le lévonorgestrel est un progestatif qui peut être utilisé sous différentes formes : en association dans les contraceptifs oraux combinés, seul dans les contraceptifs minidosés et dans les thérapies substitutives hormonales ou les implants. Le lévonorgestrel peut aussi être administré directement dans la cavité utérine, à partir d’un DIU. Celui-ci entraîne la libération d’une faible quantité journalière de lévonorgestrel directement au niveau de l’endomètre. Mirena libère ainsi directement dans l’utérus le progestatif (le lévonorgestrel) avec une dose définie dans le temps, c’est-à-dire environ 20 microgrammes par 24 heures en début de traitement puis environ 10 microgrammes par 24 heures au bout de 5 ans.
Le mécanisme d’action de Mirena est différent de celui des DIU classiques au cuivre. Il agit principalement sur certaines modifications telles que l’épaississement de la glaire cervicale prévenant le passage cervical des spermatozoïdes et l’effet local sur l’endomètre et la prévention de la prolifération de l’endomètre pouvant constituer un terrain hostile aux nombreux phénomènes qui interviennent dans le mécanisme de reproduction. L’ovulation peut être inhibée chez certaines femmes.
Utilisation et posologie
Mirena est un dispositif intra-utérin prescrit et vendu uniquement sur ordonnance. Il peut être posé par un professionnel de santé, soit un médecin soit une sage-femme, en étant inséré dans la cavité utérine. Il est recommandé que l’insertion soit réalisée exclusivement par un professionnel de santé familiarisé ou ayant été formé à la technique d’insertion de ce DIU. La période la plus propice à sa mise en place correspond au début du cycle c’est à dire au cours des 7 jours qui suivent le début des règles. La mise en place peut s’effectuer aussitôt après un avortement du premier trimestre. Il peut également avoir lieu au cours du post-partum, après involution complète de l’utérus et au plus tôt 6 semaines après l’accouchement. L’étui du DIU Mirena contient toujours une carte qui est destinée à la patiente. Le professionnel de santé qui a inséré le dispositif pourra y inscrire son nom, le numéro de lot de Mirena, sa date d’insertion, la date de changement et du retrait prévisible, ainsi que la date de la prochaine visite de suivi. Après une période de 5 ans, le stérilet Mirena doit être retiré et changé. Le retrait de ce dispositif peut se faire à n’importe quel moment du cycle. Il sera effectué par un professionnel de santé, grâce à un fil intégré au dispositif qui dépasse par le col de l’utérus.
Quels sont les effets secondaires positifs et avantages du Mirena?
Au niveau contraceptif, le dispositif intra-utérin Mirena présente d’abord l’avantage d’une très grande efficacité. On a constaté que son taux d’échec lors de son utilisation courante sur une année est estimé à 2 grossesses pour 1000 femmes. À ce jour, aucune autre contraception n’arrive à ce taux de succès.
Le DIU Mirena a également de nombreux avantages tels que sa simplicité d’utilisation, son aspect économique ainsi que sa longue durée d’action de 5 ans. En effet, une fois posé, le stérilet agit seul sans que vous ayez besoin d’y penser contrairement à d’autres méthodes contraceptives comme la pilule. Il peut bénéficier d’un remboursement de 65 % par la Sécurité Sociale. Au niveau du confort, le dispositif n’est pas ressenti chez la femme qui le porte et il ne gêne pas non plus le partenaire pendant les rapports sexuels.
Utilisé dans le cadre d’une régulation de règles trop abondantes et/ou trop longues, le Mirena est également concluant. On note notamment :
- Une réduction de l’abondance du flux menstruel de 80 % au bout d’un an dans la population générale,
- une réduction des ménorragies liées à l’existence d’une adénomyose ou de fibromes,
- une réduction de la dysménorrhée parmi la population générale,
- un traitement de l’endométriose avec une amélioration tout à fait significative de la fréquence ainsi que de la sévérité de la symptomatologie douloureuse,
- une régression d’une hyperplasie de l’endomètre.
Quelles sont les effets secondaires et risques?
L’insertion ou le retrait du dispositif intra-utérin Mirena peut éventuellement provoquer des douleurs ou bien des saignements. Lors de l’insertion, certaines patientes peuvent être victimes de malaise, quelques fois associé à une perte de connaissance ou à des convulsions chez des personnes épileptiques.
Certains effets secondaires peuvent exister. Parmi eux, on relève de manière très fréquente, c’est-à-dire dans plus de 10 % des cas : maux de tête, douleurs abdominales, modification des saignements, diminution de la durée ou de l’importance des règles, vulvovaginite, pertes vaginales. De manière fréquente, c’est-à-dire pour 1 à 10 % des cas : dépression, nervosité, baisse de la libido, migraine, nausées, acné et/ou autre problème de peau, douleurs dorsales, tension des seins, prise de poids, expulsion spontanée du DIU. De manière peu fréquente, c’est-à-dire pour moins de 1 % des cas : chute de cheveux, démangeaisons, eczéma, œdèmes, perforation de la paroi de l’utérus nécessitant le retrait du DIU. Ce risque de perforation est augmenté en cas d’insertion du dispositif chez les femmes allaitantes, chez celles qui ont récemment accouché et chez celles dont l’utérus est rétroversé et fixé. De manière fréquente indéterminée : augmentation de la tension artérielle, cancer du sein, réaction allergique.
Il existe différents risques liés au DIU Mirena
Le risque cardiovasculaire
Il n’est pas établi qu’il existe un risque augmenté de thrombose veineuse par rapport aux femmes qui utilisent une contraception autre qu’hormonale, voire pas de contraception. Par mesure de sécurité, il est recommandé aux femmes qui souffrent d’une cardiopathie congénitale ou d’une valvulopathie cardiaque d’opter pour un autre moyen de contraception car elles sont exposée à un risque d’endocardite infectieuse.
Le risque d’infections pelviennes
l est extrêmement rare, car le dispositif a été conçu de telle manière que le risque d’infections et de contamination bactérienne liée à l’insertion dans l’utérus soit minime. Ce risque d’infections pelviennes existe néanmoins durant le premier mois sous des formes plus ou moins sévères pouvant aller jusqu’à la septicémie. Ces infections peuvent avoir des conséquences graves et notamment avoir un retentissement négatif sur la fertilité. En cas de symptôme évocateur d’une infection, il faudra réaliser des examens bactériologiques et bénéficier d’une surveillance accrue. Si une endométrite ou une maladie inflammatoire pelvienne évolutive ou récidivante sont diagnostiquées, ou si une infection aiguë sévère ne répond pas au traitement en quelques jours, le stérilet devra être retiré.
Le risque de perforations
Il existe également pour de très rares cas un risque de perforations ou de pénétration de la paroi de l’utérus, le plus souvent lors de la pose. Dans ce cas, Mirena n’est plus efficace en tant que contraceptif. Il doit être retiré et une intervention chirurgicale peut être nécessaire. Le risque de perforation est augmenté chez les femmes qui allaitent et chez les femmes qui ont accouché dans les 36 semaines précédant l’insertion de MIRENA. Ce risque peut également être augmenté chez les femmes dont l’utérus est positionné vers l’arrière et fixé (utérus dit rétroversé fixé).
Le risque de grossesse extra-utérine
Dans la mesure où l’ovulation peut avoir lieu, il est possible qu’une grossesse extra-utérine se développe, notamment chez les patientes ayant des antécédents de grossesse extra-utérine, de chirurgie tubaire ou d’infection pelvienne. Si une douleur abdominale basse est ressentie en l’absence de règles, ou au contraire s’il y a un saignement inhabituel et abondant, alors l’éventualité d’une grossesse extra-utérine peut être envisagée.
Le risque d’absence de fils
Il est possible que les fils de retrait ne soient pas visibles lors des examens de contrôle. Par mesure de sécurité, votre médecin vous recommandera sans doute de pratiquer un test de grossesse pour en exclure toute éventualité. Lorsque ce risque de grossesse est écarté, l’absence de fils doit amener votre praticien à localiser les fils à l’aide d’un instrument spécifique ou à recourir à une échographie pour s’assurer qu’il n’y a eu ni expulsion ni perforation ou encore à recourir aux rayons X si l’échographie n’a pas été probante.
Le risque de follicules de grande taille
Près de 7 % des utilisatrices ont rapporté cet effet indésirable. De par son mode de fonctionnement, le DIU hormonal n’empêche pas le cycle ovulatoire entrainant une rupture des follicules. Or, il peut arriver que les follicules continuent de grandir. La plupart du temps asymptomatiques, elles finissent par se résorber spontanément au bout de deux ou trois mois. Si ells persistent, des mesures de surveillance échographique continuent ainsi que des mesures thérapeutiques devront être mises en place.
Le risque de cancer du sein
Les utilisatrices de contraception homonale auraient davantage de risque de développer un cancer du sein que les non-utilisatrices. On peut donc présumer que les DIU hormonaux, tels que MIRENA, comportent eux aussi le même risque.
Le risque d’expulsion du Mirena
Il peut arriver que le stérilet soit expulsé partiellement ou complètement de l’utérus. Les manifestations physiques de l’expulsion se caractérisent par des saignements et des douleurs. Toutefois, il peut arriver que l’expulsion soit asymptomatique. Un contrôle de la présence des fils peut être effectué régulièrement pour vérifier sa présence.
Le risque de dépression
Il peut être grave car il favorise un comportement suicidaire. Il convient de contacter un médecin en cas de changements d’humeur et de symptômes dépressifs.